- le calage: la combinaison du monde réel et des données numériques en temps réel,
- la synchronisation des mouvements en temps réel entre l’utilisateur et le monde réel (ajustement numérique suite à toute modification du réel),
- la simulation en 3D de l’environnement (finesse de l’image, profondeur).
- La réalité virtuelle consiste à nous plonger dans un univers numérique artificiel.
Elle est immersive dans le sens où elle nous coupe de la réalité et nous fait entrer dans une simulation du réel répondant à une histoire préconçue. Plongés dans un univers virtuel en 3D et sur 360 °, nous interagissons avec des mouvements de tête (head cracking), des déplacements (positionnal tracking), des gestes ou des contrôles physiques.
Elle a de nombreuses applications dans le divertissement (jeux vidéos, films), l’architecture (maison virtuelle), la science (visualisation scientifique), l’enseignement (formation et pédagogie), la recherche (sciences du comportement et psychopharmacologie), l’industrie (conception assistée, revue de projet et validation), l’armée (télérobotique) ou la thérapie (cyberthérapies). Permettant de simuler ou de piloter à distance ce qui n’est pas accessible au commun des mortels, elle ouvre un champs de possibilités quasi infini.
- La réalité augmentée a vocation à augmenter notre perception du monde réel en lui superposant des éléments virtuels.
S’appuyant sur le milieu ambiant, elle l’enrichit d’informations sur les êtres ou les objets, au moyen de lunettes (tels les Google glass) ou de visières semi-transparentes numériques. Elle présente de nombreuses possibilités applicatives dans les secteurs énoncés plus haut. Renseignant le réel au moyen de pages, d’objets virtuels, elle agit avec la réalité telle une interface numérique additive.
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