ALBERT EINSTEIN : 107 citations marquantes

Albert Einstein est né le 14 mars 1879 à Ulm et mort le 18 avril 1955 à Princeton. Physicien renommé, il publie en 1905 une théorie de la relativité restreinte et en 1915 une théorie de la gravitation dite de la relativité générale. Il participe au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie. Il obtient le prix Nobel de physique en 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique. Son travail est mondialement connu pour l’équation E=mc2, équivalence entre la matière et l’énergie d’un système.

Quelques citations marquantes :



Au centre de la difficulté se trouve l’opportunité.
Bien que je sois un solitaire dans ma vie de tous les jours, la conscience d’appartenir à l’invisible communauté de ceux qui luttent pour la vérité, la beauté et la justice m’a empêché d’éprouver un sentiment de solitude.
C’est la personne humaine, libre, créatrice et sensible qui façonne le beau et le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d’imbécilité et d’abrutissement.
C’est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu’il en a reçu.
C’est le rôle essentiel du professeur d’éveiller la joie de travailler et de connaître.
C’est un véritable miracle de voir que les méthodes modernes d’instruction n’ont pas encore entièrement étouffé la saine curiosité intellectuelle ; cette petite plante délicate, en plus d’un encouragement, a surtout besoin de liberté ; sans quoi elle s’étiole et ne manque pas de périr
Ce n’est pas à cause de l’attraction terrestre que des gens tombent… amoureux !
Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.
Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible.
Ce qui fait la vraie valeur d’un être humain, c’est de s’être délivré de son petit moi.
Celui qui ressent sa propre vie et celle des autres comme dénuées de sens est fondamentalement malheureux, puisqu’il n’a aucune raison de vivre.
Cette conviction, liée à un sentiment profond d’une raison supérieure, se dévoilant dans le monde de l’expérience, traduit pour moi l’idée de Dieu.
Ceux qui ont le privilège de savoir ont le devoir d’agir.
Conversation entre Chaplin et Einstein : – Ce que j’admire le plus dans votre art, dit Albert Einstein c’est son universalité. Vous ne dites pas un mot, et pourtant… le monde entier vous comprend. – C’est vrai, réplique Chaplin. Mais votre gloire est plus grande encore : le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend.
Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j’y crois.
Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.
Dieu est subtil, mais il n’est pas malveillant.
Dieu ne joue pas aux dés.
En tant qu’êtres humains, nous avons été dotés de ce qu’il faut d’intelligence pour nous rendre compte à quel point celle-ci est inappropriée face à l’existence.
Il est plus difficile de désagréger un préjugé qu’un atome.
Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
Il n’existe pas d’autre éducation intelligente que d’être soi-même un exemple, même si l’on ne pouvait empêcher que ce fût un monstre !
Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine… mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue.
Il n’y a que deux façons de vivre sa vie : l’une en faisant comme si rien n’était un miracle, l’autre en faisant comme si tout était un miracle.
Il y a des moments où l’on se sent libéré de ses propres limites et imperfections humaines. Dans de tels instant on se voit là, dans un tout petit coin d’une petite planète, le regard fixé en émerveillement sur la beauté froide et pourtant profonde et émouvante de ce qui est éternel, de ce qui est insaisissable. La vie et la mort se fondent ensemble et il n’y a pas d’évolution ni de destination, il n’y a que ETRE.
Inventer, c’est penser à côté.
J’aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas.
Je détermine l’authentique valeur d’un homme d’après une seule règle : à quel degré et dans quel but l’homme s’est libéré de son Moi ?
Je ne crois pas en un Dieu personnel et je ne l’ai jamais nié, mais exprimé clairement. Si quelque chose en moi peut être appelé religieux, c’est l’admiration sans bornes pour la structure du monde pour autant que la science peut nous en révéler.
Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.
Je ne dors pas longtemps, mais je dors vite.
Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt.
Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais ce dont je suis sûr, c´est que la quatrième guerre mondiale se résoudra à coups de bâtons et de silex.
Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n’est que détail.
L’école devrait toujours avoir pour but de donner à ses élèves une personnalité harmonieuse, et non de les former en spécialiste.
L’effort d’unir sagesse et pouvoir aboutit rarement et seulement très brièvement.
L’effort vers la connaissance représente un de ces buts indépendants, sans lesquels, pour moi, une affirmation consciente de la vie n’existe pas pour l’homme qui déclare penser.
L’enseignement devrait être ainsi : celui qui le reçoit le recueille comme un don inestimable mais jamais comme une contrainte pénible.
L’environnement c’est tout ce qui n’est pas moi.
L’espéranto est la meilleure solution à l’idée de langue internationale.
L’esprit humain n’est pas capable de comprendre l’Univers. Nous sommes comme un petit enfant entrant dans une énorme bibliothèque. Les murs sont couverts jusqu’aux plafonds de livres dans diverses langues. L’enfant sait que quelqu’un doit avoir écrit ces livres. Il ne sait pas qui ni comment. Il ne comprend pas la langue dans laquelle ils sont écrits. Mais l’enfant remarque un plan précis dans la disposition des livres. Un Ordre Mystérieux qu’il ne comprend pas, mais qu’il soupçonne seulement vaguement.
L’Etat est notre serviteur et nous n’avons pas à en être les esclaves.
L’homme évite habituellement d’accorder de l’intelligence à autrui, sauf quand par hasard il s’agit d’un ennemi.
L’idée que l’ordre et la précision de l’univers, dans ses aspects innombrables, seraient le résultat d’un hasard aveugle est aussi peu crédible que si, après l’explosion d’une imprimerie, tous les caractères retombaient par terre dans l’ordre d’un dictionnaire.
L’imagination est plus importante que le savoir.
La bureaucratie réalise la mort de toute action.
La chose la plus difficile à comprendre au monde c’est l’impôt sur le revenu !
La condition des hommes s’avérerait pitoyable s’ils devaient être domptés par la peur d’un châtiment ou par l’espoir d’une récompense après la mort.
La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.
La créativité, c’est l’intelligence qui s’amuse.
La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent.
La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent.
La gravité n’est pas responsable de ceux qui tombent en amour.
La joie de contempler et de comprendre, voilà le langage que me porte la nature.
La liberté consiste à se discipliner au lieu de se laisser discipliner.
La plus belle chose que nous puissions éprouver, c’est le côté mystérieux de la vie.
La politique c’est éphémère mais une équation est éternelle.
La recherche procède par des moments distincts et durables, intuition, aveuglement, exaltation et fièvre. Elle aboutit un jour à cette joie, et connaît cette joie celui qui a vécu des moments singuliers.
La science est une chose merveilleuse… tant qu’il ne faut pas en vivre !
La science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle.
La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c’est l’humour.
La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi !
La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
La valeur morale ne peut pas être remplacée par la valeur intelligence et j’ajouterai : Dieu merci !
La vie est une aventure, elle doit être sans cesse disputée à la mort.
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.
Le culte de la personnalité reste à mes yeux toujours injustifié.
Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito.
Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.
Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion.
Le problème aujourd’hui n’est pas l’énergie atomique, mais le coeur des hommes.
Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mis dans les mains d’un psychopathe.
Le véritable signe de l’intelligence, ce n’est pas la connaissance mais l’imagination.
Les amères leçons du passé doivent être réapprises sans cesse.
Les coïncidences sont une manière pour Dieu de rester anonyme.
Les idéaux qui ont guidé ma route et m’ont donné le courage d’affronter la vie jours après jours avec gaieté, ont été la gentillesse, la beauté et la vérité.
Les plus grandes épreuves auxquelles le Monde aura à faire face dans les années à venir seront la surpopulation, le manque de ressources (eau, matières premières, pétrole…), des pandémies de toutes sortes de maladies connues et nouvelles, des pollutions de toutes sortes (chimiques, air, eau, alimentation…)
N’essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur.
N’importe où, ou en quinze jours, une campagne de presse peut exciter une population incapable de jugement, à un tel degré de folie, que les hommes sont prêts à s’habiller en soldats pour tuer et se faire tuer.
Une personne qui n’a jamais commis d’erreurs n’a jamais tenté d’innover.
Ne faites rien contre votre conscience, même si l’Etat vous le demande.
Nous aurons le destin que nous aurons mérité.
Nous devons faire attention de ne pas faire de l’intellect notre dieu ; il a, bien sûr, des muscles puissants, mais pas de personnalité. Il ne peut pas commander; seulement servir.
Nous ne pouvons pas désespérer des hommes, puisque nous sommes nous-mêmes des hommes.
Peu d’être sont capables d’exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d’arriver à formuler de telles opinions.
Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d’une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C’est ça la relativité.
Pour être un membre irréprochable parmi une communauté de moutons, il faut avant toute chose être soi-même un mouton.
Qu’un homme puisse prendre plaisir à marcher au rythme d’une fanfare militaire, suffit à me le rendre méprisable.
Que chacun raisonne en son âme et conscience, qu’il se fasse une idée fondée sur ses propres lectures et non d’après les racontars des autres.
Que chacun raisonne en son âme et conscience.
Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité.
Rendez les choses aussi simples que possible, mais pas plus simples.
Rien n’est plus proche du vrai que le faux.
Se sacrifier au service de la vie équivaut à une grâce.
Si l’idée n’est pas à priori absurde, elle est sans espoir.
Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changez les faits.
Si quelqu’un, en l’éveil de son intelligence, n’a pas été capable de s’enthousiasmer pour une telle architecture, alors jamais il ne pourra réellement s’initier à la recherche théorique.
Si vous voulez vivre une vie heureuse, attachez-la à un but, non pas à des personnes ou des choses.
Soit A un succès dans la vie. Alors A = x + y + z, où x = travailler, y = s’amuser, z = se taire.
Tout est déterminé par des forces sur lesquelles nous n’exerçons aucun contrôle. Ceci vaut pour l’insecte autant que pour l’étoile. Les êtres humains, les légumes, la poussière cosmique – nous dansons tous au son d’une musique mystérieuse, jouée à distance par un flûtiste invisible.
Toutes les richesses du monde, fussent-elles entre les mains d’un homme totalement acquis à l’idée de progrès, ne permettront jamais le moindre développement moral de l’humanité.
Un estomac creux n’est pas un bon conseiller politique.
Un être humain est une partie d’un tout que nous appelons Univers , une partie limitée dans le temps et l’espace. Il s’expérimente lui-même, ses pensées et ses émotions comme quelque chose qui est séparé du reste, une sorte d’illusion d’optique de la conscience. Cette illusion est une sorte de prison pour nous, nous restreignant à nos désirs personnels et à l’affection de quelques personnes proches de nous. Notre tâche doit être de nous libérer nous-mêmes de cette prison en étendant notre cercle de compassion pour embrasser toutes créatures vivantes et la nature entière dans sa beauté.
Un problème sans solution est un problème mal posé.
 

Citation :

Un problème sans solution est un problème mal posé.

Einstein

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