Coquins à la confiture, biscuits de Noël : la recette facile

Les coquins à la confiture sont des biscuits de Noël composés de farine, oeuf, beurre pommade, poudre d’amandes, sucre en poudre, sucre vanillé, levure chimique, sel, citron, gelée ou confiture d‘orange, groseilles, framboises ou mûres et sucre glace.

Originaires d’Alsace, ces biscuits traditionnels alsaciens, aussi appelés « Spitzbüewe » (coquins ou petits voyoux) en alsacien, font partie des bredeles classiques réalisées dans toute famille alsacienne durant la période de l’Avent lors des fêtes de Noël.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 20 min
Temps de repos : 2 h
Temps de cuisson : 30 min
Temps total : 50 min + 2 h (repos)
Portions : 50 biscuits
250 g de farine, tout usage
1 oeuf
125 g de beurre pommade
50 g de poudre d’amandes
125 g de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
1 cuillère à café de levure chimique
1 pincée de sel
1/2 citron (zeste râpé)
65 g de gelée ou confiture d’orange, groseilles, framboises ou mûres
sucre glace

Préparation :

  • Dans un bol, mélanger la farine avec l’oeuf puis le beurre pommade.
  • Ajouter ensuite, tout en mélangeant, la poudre d’amandes, le sucre en poudre et le sucre vanillé.
  • Ajouter enfin, tout en continuant de mélanger, la levure chimique, le sel et zeste râpé de citron.
  • Former une boule de pâte et envelopper de film plastique.
  • Mettre 2 h au réfrigérateur.
  • Étaler sur 3 mm d’épaisseur.
  • Découper à l’emporte-pièce rond.
  • Placer la moitié des biscuits sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.
  • Enfourner 10 à 15 min dans un four préchauffé en mode statique à 180°C.
  • Découper le centre de l’autre moitié de biscuits avec un motif plus petit.
  • Enfourner 10 à 15 min dans un four préchauffé en mode statique à 180°C.
  • Déposer le centre des biscuits sans cavité de gelées ou confiture.
  • Superposer avec les biscuits avec la cavité.
  • Saupoudrer de sucre glace.
  • Servir et déguster.

Citation :

« La cuisine d’un peuple est le seul témoin exact de sa civilisation. »

Marcel Rouff