Les macarons Mont-Blanc sont des macarons composés de coques à base de blancs d’oeufs, sucre glace, amandes, sirop de sucre et vanille; garnies de crème fouettée au sucre glace.
Devant leur nom à leur couleur immaculée, ces macarons faciles à préparer, à la double coque parfumée aux amandes, garnis d’une crème chantilly moins sucrée que la chantilly classique, se dégustent en fin de repas ou lors des collations de la journée.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 30 min |
Temps de repos : 40 min |
Temps de cuisson : 10 min |
Temps total : 40 min + 40 min (repos) |
Portions : 6 personnes |
4 blancs d’oeufs |
200 g de sucre glace |
175 g d’amandes pelées |
170 g de sucre en poudre |
1 gousse de vanille |
50 ml d’eau minérale |
200 g de crème fraîche liquide froide + 100 g de sucre glace |
1 pincée de sel |
Préparation :
- Mixer par intermittence à grande vitesse les amandes épluchées et le sucre glace. Verser dans un bol.
- Ajouter 2 blancs d’œufs et les graines de la gousse de vanille. Mélanger délicatement.
- Dans une casserole, verser le sucre en poudre avec 50 ml d’eau dans une casserole. Faire chauffer durant 3 minutes après le début de l’ébullition jusqu’à ce que de petites bulles se forment.
- Dans un bol, monter les 2 blancs d’œufs restants avec une pincée de sel et, tout en fouettant, verser petit à petit le sirop bouillant. Fouetter encore 4 à 5 min et incorporer le tout au mélange d’amandes.
- Transférer la pâte des macarons dans un sac à douille avec une buse lisse et former de petits disques de 3 cm de diamètre sur la plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.
- Laisser reposer à température ambiante durant 40 min.
- Enfourner dans un four préchauffé en mode statique à 180°C durant 10 min.
- Sortir du four et laisser refroidir.
- Une fois refroidis, fouetter 200 g de crème fraîche froide avec 100 g de sucre glace.
- Garnir la moitié des coques puis placer l’autre moitié des coques dessus.
- Servir et déguster.
Citation :
« La cuisine d’un peuple est le seul témoin exact de sa civilisation. »
Marcel Rouff