La gâteau des rois mages est un gâteau à base de pâte feuilletée et de crème pâtissière aux amandes à base de lait, œufs, farine, beurre, sucre, amandes et citron.
Version différente de la galette des rois à la frangipane classique, il est particulièrement fondant, moelleux et parfumé et est très adapté aux collations de la journée.
| Niveau de difficulté : facile |
| Temps de préparation : 30 min |
| Temps de repos : – |
| Temps de cuisson : 45 min |
| Temps total : 1 h 15 min |
| Ingrédients : 6 personnes |
| 2 rouleaux de pâte feuilletée |
| 500 ml de lait entier |
| 6 œufs |
| 100 g de farine |
| 70 g de beurre |
| 90 g de sucre |
| 50 g d’ amandes |
| 1 amande entière pelée |
| 1/2 zeste de citron |
Préparation :
- Dérouler les deux rouleaux de pâte feuilletée et faire 2 cercles d’un diamètre d’environ 20 cm.
- Disposer la première pâte dans un moule à gâteau de 20 cm et mettre de côté la deuxième pâte.
- Mettre au réfrigérateur.
- Ramollir le beurre avec une cuillère dans un bol et ajouter les amandes finement hachées. Mélanger jusqu’à obtenir une crème douce. Mettre de côté.
- Faire chauffer le lait avec un demi-zeste de citron.
- Séparément, dans un bol, fouetter 5 jaunes d’œufs avec le sucre, ajouter la farine puis le lait filtré.
- Bien mélanger et remettre à feu doux quelques minutes en remuant constamment jusqu’à ce que la crème épaississe. Laisser refroidir.
- Ajouter le beurre et la crème d’amandes et bien mélanger.
- Sortir le moule avec la base de pâte feuilletée et ajouter la crème à l’intérieur en gardant loin des bords.
- Disposer l’amande entière pelée au centre.
- Fermer avec l’autre disque de pâte feuilletée. Bien sceller les bords et faire des motifs en surface.
- Badigeonner avec le jaune d’œufs et saupoudrer d’un peu de sucre granulé.
- Préchauffer le four à 180°C.
- Enfourner durant environ 40 à 45 min.
- Sortir du four et laisser refroidir complètement.
- Couper en tranches et saupoudrer éventuellement de sucre glace.
- Déguster !
Citation sur la cuisine :
“La gastronomie fait trembler d’intelligence nos narines.”
Charles Monselet
