COURONNE DES ROIS FACILE

La couronne des rois est un gâteau brioché usuellement élaboré et consommé en Provence à l’occasion de l’Épiphanie (fête chrétienne célébrant le 6 janvier la visite des rois mages à l’enfant Jésus). Sous forme de couronne, parfumé à la fleur d’oranger, ce gâteau est recouvert de sucre granulé et/ou de fruits confits représentant les joyaux des couronnes des rois mages.

La recette ci-dessous, facile et rapide à réaliser en dehors d’un temps de levée incompressible pour donner à la brioche volume et moelleux, est parfaite pour les collations de la journée.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 25 min
Temps de repos : 2 h 50 min
Temps de cuisson : 30 min
Temps total : 55 min + 2 h 50 min (repos)
Ingrédients : 6 personnes
500 g de farine
200 ml de lait
80 g de beurre ramolli
70 g de sucre
1 cube de levure de boulanger (40 g)
3 œufs
eau de fleur d’oranger ou extrait de vanille
2 pincées de sel

Préparation :

  • Délayer le cube de levure dans un peu de lait tiède sur la quantité de la recette.
  • Laisser fermenter 20 min environ.
  • Dans un bol, verser la levure délayée, la farine, le sucre, le sel et les œufs.
  • Pétrir durant environ 5 min.
  • Ajouter le beurre coupé en dés tout en continuant à pétrir durant environ 10 min.
  • Faire une boule de pâte une boule, couvrir avec un linge propre et laissez lever durant environ 1h 30 min jusqu’à ce que la pâte double de volume.
  • Reprendre la pâte sur un plan de travail, dégazer et donner une forme de couronne.
  • Placer sur une plaque de cuisson munie de papier sulfurisé.
  • Laisser lever durant 1 h supplémentaire.
  • Préchauffez le four en mode statique à 170°C.
  • Badigeonner de l’œuf entier mélangé avec un peu d’eau.
  • Saupoudrer de sucre en grains et enfourner durant 30 min jusqu’à ce qu’elle prenne une belle couleur dorée. Surveiller la cuisson.
  • Sortir du four et laisser refroidir sur une grille.
  • Servir et déguster !

Citation sur la cuisine :

“Le sujet matériel de la gastronomie est tout ce qui peut être mangé.”

Anthelme Brillat-Savarin