GÉNÉRATION HYPERPARENTS : personne n’est parfait !

Les relations entre les enfants et les parents finissent par se détériorer. Le lien affectif devient une relation basée sur la recherche permanente d’efficacité, de résultats et de rentabilisation du temps. Celui-ci doit être constructif, éducatif, employé à apprendre ou à réseauter.

Cela peut conduire à un burn-out, une dépression, un échec ou un décrochage scolaire, une baisse de la confiance en soi et de l’estime de soi.

Comment se défaire de cette hyperparentalité et quelle parentalité adopter??

Il s’agit de prendre du recul, d’être plus serein par rapport à la pression à la réussite scolaire et la sur-médiatisation des risques encourus par les enfants.

Le soutien de la famille, des amis et des autres parents peut être d’un grand secours pour se détacher de cette pression sociale, scolaire et médiatique.

Il importe de dédramatiser et de dé-stigmatiser l’échec. Il faut accepter que l’enfant se construise à son rythme, fasse ses propres expériences et soit confronté à des émotions négatives.

Lâcher prise, faire confiance à l’enfant, le laisser prendre des risques, ne pas chercher à être des parents parfaits font partie des recommandations de base.

Cela passe également par retrouver une vie de famille paisible (slow family), valoriser le temps libre (l’art de ne rien faire ou sans finalités scolaires) et respecter les besoins réels des enfants (détente, jeu, amis…). L’apprentissage sans douleur favorise la curiosité, l’exigence envers soi-même et les relations ouvertes avec les autres. 

Bienveillance, écoute active, chaleur, confiance, ouverture, non-jugement, reconnaissance et parler-vrai sont clés pour que l’enfant devienne autonome. 

Un commentaire

  1. Pour ma part je n’ai pas été si pire que ca ..
    De toute manière je ne crois pas que ce genre de comportement rend l’enfant plus heureux et ne font que nuire plus qu’autre chose aux enfants

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