NAPOLÉON : 50 FORMULES MÉMORABLES à connaître !

Napoléon Bonaparte est né le 15 août 1769 à Ajaccio, en Corse et mort le 5 mai 1821 sur l’île Sainte-Hélène. Il fut général, premier consul, puis empereur des Français. Conquérant de l’Europe continentale, objet dès son vivant d’une légende dorée et noire, il a acquis une notoriété universelle pour son génie militaire (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland, Wagram, La Moskova) et politique, mais aussi pour son régime autoritaire, ses incessantes campagnes, souhaitées ou non, coûteuses en vies humaines, ses lourdes défaites finales en Espagne, en Russie et à Waterloo, et sa mort en exil à Sainte-Hélène sous garde anglaise. 

Peu d’hommes ont suscité autant de passions contradictoires que Napoléon Bonaparte. Selon les mots de l’historien Steven Englund : « le ton qui convient le mieux pour parler de Napoléon serait une admiration frisant l’étonnement et une désapprobation constante frisant la tristesse. » Une tradition romantique fait précocement de Napoléon l’archétype du grand homme appelé à bouleverser le monde. Elie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D’autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L’ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset à Dostoïevski, Tolstoï…

Nous avons repris quelques unes de ses formules mémorables.
Ce que l’on désire ardemment, constamment, on l’obtient toujours.
Il est dans le caractère français d’exagérer, de se plaindre et de tout défigurer dès qu’on est mécontent.
Il existe deux leviers pour faire bouger un homme, la peur et l’intérêt personnel.
Il faut sauver les peuples malgré eux.
Il n’y a qu’un secret pour mener le monde, c’est d’être fort,parce qu’il n’y a dans la force ni erreur, ni illusion; c’est le vrai, mis à nu.
Impossible n’est pas français.
Je redoute trois journaux plus que 100.000 baïonnettes.
Je veux que le fils d’un cultivateur puisse se dire:  » je serai un jour cardinal, maréchal de France ou ministre  » .
L’amour est une sottise faite à deux.
L’art d’être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l’art de réussir.
L’art le plus difficile n’est pas de choisir les hommes mais de donner aux hommes qu’on a choisis toute la valeur qu’ils peuvent avoir.
L’imagination gouverne le monde.
L’impossible est le refuge des poltrons.
L’infortune est la sage femme du génie.
L’inspiration n’est le plus souvent qu’une réminiscence.
L’intelligence ne se mesure pas des pieds à la tête, mais de la tête au ciel.
La bonne politique est de faire croire aux peuples qu’ils sont libres.
La France, c’est le français quand il est bien écrit.
La morale est bien souvent le passeport de la médisance.
La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours.
La noblesse aurait subsisté si elle s’était plus occupée des branches que des racines.
La plus grande des immoralités est de faire un métier qu’on ne sait pas.
La vie est un songe léger qui se dissipe.
Le bonheur tient aux événements, la félicité tient aux affections.

Suite de l’article, page 2

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