GÂTEAU AU FROMAGE JAPONAIS

Le gâteau au fromage japonais est un gâteau à base de fromage frais, sucre, lait, farine, beurre, amidon de maïs, œufs, citron et vanille.

Inventé à Hakata-ku au Japon, en 1947, nécessitant moins de fromage et de sucre que le cheesecake, il est moins calorique que ce dernier. Proche du chiffon cake, il a une texture cotonneuse due au fait que les blancs et jaunes d’œufs sont fouettés séparément.
Facile à réaliser, il est parfait pour les collations de la journée ou comme base pour réaliser des gâteaux à étage.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 15 min
Temps de repos :
Temps de cuisson : 1 h
Temps total : 1 h 15 min
Ingrédients : 6 personnes
280 g de fromage frais
175 g de sucre
100 ml de lait
60 g de farine
50 g de beurre
30 g d’amidon de maïs
6 œufs
1/2 citron
1 c.à c. d’extrait de vanille

Préparation :

  • Dans un bol, mélanger le fromage avec le beurre fondu refroidi et le lait.
  • Séparer les blancs des jaunes d’œufs.
  • Ajouter les jaunes d’œufs et 100 g de sucre
  • Travailler jusqu’à obtenir une crème onctueuse, puis ajouter le jus de citron.
  • Tamiser la farine et l’amidon de maïs ensemble et ajouter au mélange de fromage et de jaunes d’œufs tout en mélangeant.
  • Séparément, fouetter les blancs d’œufs en neige ferme avec les 75 g de sucre restants.
  • Incorporer délicatement les blancs en neige à la préparation avec une cuillère en bois en effectuant des mouvements lents de bas en haut.
  • Verser le mélange dans un moule de 22 à 24 cm de diamètre muni de papier sulfurisé à bords hauts (7 à 8 cm) et niveler la surface.
  • Placer le moule dans une grande casserole remplie d’eau pour le cuire au bain-marie.
  • Préchauffer l four en mode statique à 160° C.
  • Enfourner durant environ 1 h.
  • Laisser dans le four éteint durant 10 min.
  • Entrouvrir la porte du four et laisser refroidir avant de sortir et de démouler.
  • Couper en tranches et servir.
  • Servir et déguster !

Citation sur la cuisine :

“La cuisine, c’est quand les choses ont le goût de ce qu’elles sont.”

Curnonsky