PICASSO : 48 « FULGURANCES » SUR L’ART ET LA VIE

Le bon goût est le principal ennemi de la créativité.
Le métier, c’est ce qui ne s’apprends pas.
Le travail est nécessaire pour l’homme. Il en a inventé le réveil-matin.
Les accidents, essayer de les éviter… c’est impossible. Ce qui est accidentel révèle l’homme.
Les autres parlent, moi je travaille.
Les ordinateurs sont inutiles. Ils ne savent que donner des réponses.
Ma mère me disait : » si tu deviens soldat, tu seras général ; si tu te fais moine, tu seras pape. » Au lieu de cela, je voulais être peintre, et je suis devenu Picasso.
Nos morts continuent de vieillir avec nous.
On devient jeune à soixante ans. Malheureusement, c’est trop tard.
On met longtemps à devenir jeune.
On peut écrire et peindre n’importe quoi puisqu’il y aura toujours des gens pour le comprendre, pour y trouver un sens.
Pour apprendre quelque chose aux gens, il faut mélanger ce qu’ils connaissent avec ce qu’ils ignorent.
Pourquoi je suis communiste ? C’est bien simple : je possède un milliard et je veux le garder.
Quand je n’ai pas de bleu, je mets du rouge.
Qui voit la figure humaine correctement ? Le photographe, le miroir ou le peintre ?
Rappelle-toi : l’unique personne qui t’accompagne toute la vie, c’est toi-même ! 
Rien ne peut être fait sans la solitude.
S’il n’existait qu’une seule vérité, on ne pourrait peindre des centaines de tableaux sur un même sujet.
Si l’on sait exactement ce qu’on va faire, à quoi bon le faire ?
Sois vivant dans tout ce que tu fais.
Tout acte de création est d’abord un acte de destruction.
Tout ce qui peut être imaginé est réel.
Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin.
Un tableau était une somme d’additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions.
Un tableau ne vit que par celui qui le regarde.

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