Les biscuits royaux aux amandes à l’orange sont des biscuits composés de poudre d’amandes, sucre en poudre, blancs d’oeufs, extrait d’amande, miel, sucre glace, zeste râpé et confiture d’orange et écorces d’orange confite.
Créés à la fin du XIIe siècle dans le couvent palermitain de la Martorana, annexé à l’église de Santa Maria dell’Ammiraglio, qui doit son nom à Giorgio d’Antiochia, amiral du roi Ruggero II, ces biscuits aux amandes sont aussi appelés « royaux », car « dignes d’un roi » pour leur bonté et leur délicatesse.
Faciles et rapides à préparer, ces biscuits délicieux se préparent durant toute l’année, en particulier durant les fêtes de fin d’année.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 15 min |
Temps de repos : 8 h 30 min |
Temps de cuisson : 15 min |
Temps total : 30 min + 8 h 30 min (repos) |
Portions : 6 personnes |
250 g de poudre d’amandes |
175 g de sucre en poudre |
2 blancs d’oeufs de taille moyenne |
1 cuillère à café de zeste râpé d’orange |
extrait d’amande |
15 g de miel d’acacia |
50 g de sucre glace |
marmelade d’orange |
écorces d’orange confite |
Préparation :
- Dans un bol, verser la poudre d’amandes et le sucre.
- Ajouter le miel, l’extrait d’amande, le zeste râpé de l’orange et les blancs d’œuf. Mélanger jusqu’à obtenir une consistance homogène.
- Former un petit pain de pâte, envelopper de film plastique et mettre 30 min au réfrigérateur.
- Diviser la pâte en 20 à 25 morceaux égaux et rouler en boules.
- Verser le sucre glace sur un plan de travail et y passer les boules jusqu’à ce qu’elles soient complètement couvertes.
- Poser sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.
- Placer dessus des écorces d’orange confite en appuyant légèrement ou faire une cavité avec les doigts et garnir de confiture.
- Couvrir de film plastique et mettre au réfrigérateur durant 8 h.
- Enfourner dans un four préchauffé en mode statique à 170°C durant 12 à 15 min.
- Sortir du four et laisser refroidir.
- Servir et déguster.
Citation :
« La cuisine d’un peuple est le seul témoin exact de sa civilisation. »
Marcel Rouff