CHARLES DE GAULLE : 50 formules marquantes à connaître !

La justice sociale se fonde sur l’espoir, sur l’exaltation d’un pays, non sur les pantoufles.
La parole est au peuple. La parole du peuple, c’est la parole du souverain.
La politique, quand elle est un art et un service, non point une exploitation, c’est une action pour un idéal à travers des réalités.
La ruse doit être employée pour faire croire que l’on est où l’on n’est pas, que l’on veut ce qu’on ne veut pas.
La véritable école du commandement est la culture générale. Au fond des victoires d’Alexandre, on retrouve toujours Aristote.
La vie n’est pas le travail : travailler sans cesse rend fou.
Le caractère, vertu des temps difficiles, c’est d’abord de négliger d’être outragé ou abandonné par les siens.
Le désir du privilège et le goût de l’égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque.
Le patriotisme, c’est aimer son pays. Le nationalisme, c’est détester celui des autres.
Le plus dur ce n’est pas de sortir de Polytechnique, c’est de sortir de l’ordinaire.
Le silence est le refuge des faibles et la grandeur des puissants.
Le talent est un titre de responsabilité.
Les choses capitales qui ont été dites à l’humanité ont toujours été des choses simples.
Les exigences d’un grand peuple sont à l’échelle de ses malheurs.
Les Français sont des veaux. Ils ne pensent qu’à bouffer et à augmenter leur niveau de vie. Le bifteck-pommes frites, c’est bon. La Quatre-chevaux, c’est utile. Mais tout cela ne constitue pas une ambition nationale.
Les Français, où qu’ils le cherchent, ont besoin de merveilleux.
Les grandes choses se font par la valeur des hommes bien plus que par des textes.
Pour pouvoir aboutir à des solutions valables, il faut tenir compte de la réalité. La politique n’est rien d’autre que l’art des réalités. 
Prenez de l’altitude, il y a moins de monde.
Recevoir un grand nombre de journalistes est un plaisir. Un petit nombre un ennui. Un seul d’entre eux : un supplice.
Rien ne rehausse l’autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles.
Si l’intelligence ne suffit point à l’action, il va de soi qu’elle y prend part.
Soyons fermes, purs et fidèles : au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n’ont pas cédé.
Tout français désire bénéficier d’un ou plusieurs privilèges. C’est sa façon d’affirmer sa passion pour l’égalité.
Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes, n’ont qu’un temps.

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