Le biscuit Madeleine pour entremets est un biscuit composé de sucre en poudre, œufs, farine, beurre, levure chimique, extrait de vanille et zeste râpé de citron.
La madeleine aurait été créée en 1755 au château de Commercy (Meuse). Recevant Voltaire et Madame de Châtelet, le roi Stanislas de Pologne aurait demandé à Madeleine, sa cuisinière, de préparer un gâteau moelleux. Elle aurait conçu un gâteau en forme de coquillage, très apprécié que le roi envoya à sa fille Marie, épouse de Louis XV. Appréciant ce gâteau, elle le nomma Madeleine, en hommage à sa créatrice.
À l’origine sous forme de gâteau, le biscuit Madeleine offre une base épaisse à la fois moelleuse et de bonne tenue (proche de celle d’un cake) permettant de réaliser de délicieux entremets garnis de crèmes ou de fruits rouges.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 10 min |
Temps de repos : – |
Temps de cuisson : 15 min |
Temps total : 25 min |
Ingrédients : 6 personnes |
150 g de sucre en poudre |
3 Ĺ“ufs (150 g environ) |
150 g de farine, tout usage |
150 g de beurre fondu, refroidi |
1/2 cuillère à café de levure chimique |
20 ml d’extrait de vanille liquide |
1 gros citron (zeste râpé) |
1 pincée de sel |
Préparation :
- Placer les ingrédients à température ambiante, 30 min avant leur utilisation.
- Dans un bol, faire fondre le beurre et laisser refroidir.
- Préchauffer le four en mode statique à 200°C.
- Dans un bol, tamiser la farine avec la levure chimique.
- Dans un bol, ajouter les œufs, le sucre et une pincée de sel et monter au fouet à vitesse moyenne.
- Tout en mélangeant, ajouter le mélange de farine et de levure en pluie puis le beurre fondu refroidi et enfin le zeste râpé de citron et l’extrait de vanille.
- Étaler sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Abaisser et lisser sur une épaisseur de 7 à 8 mm.
- Enfourner durant 12 à 15 min jusqu’à obtenir une coloration dorée. Retourner à mi-cuisson. Sortir du four et laisser refroidir sur grille.
Citation sur la cuisine :
“La bonne cuisine, c’est le souvenir.”
Georges Simenon