Le bon goût est le principal ennemi de la créativité. |
Le métier, c’est ce qui ne s’apprends pas. |
Le travail est nécessaire pour l’homme. Il en a inventé le réveil-matin. |
Les accidents, essayer de les éviter… c’est impossible. Ce qui est accidentel révèle l’homme. |
Les autres parlent, moi je travaille. |
Les ordinateurs sont inutiles. Ils ne savent que donner des réponses. |
Ma mère me disait : » si tu deviens soldat, tu seras général ; si tu te fais moine, tu seras pape. » Au lieu de cela, je voulais être peintre, et je suis devenu Picasso. |
Nos morts continuent de vieillir avec nous. |
On devient jeune à soixante ans. Malheureusement, c’est trop tard. |
On met longtemps à devenir jeune. |
On peut écrire et peindre n’importe quoi puisqu’il y aura toujours des gens pour le comprendre, pour y trouver un sens. |
Pour apprendre quelque chose aux gens, il faut mélanger ce qu’ils connaissent avec ce qu’ils ignorent. |
Pourquoi je suis communiste ? C’est bien simple : je possède un milliard et je veux le garder. |
Quand je n’ai pas de bleu, je mets du rouge. |
Qui voit la figure humaine correctement ? Le photographe, le miroir ou le peintre ? |
Rappelle-toi : l’unique personne qui t’accompagne toute la vie, c’est toi-même ! |
Rien ne peut être fait sans la solitude. |
S’il n’existait qu’une seule vérité, on ne pourrait peindre des centaines de tableaux sur un même sujet. |
Si l’on sait exactement ce qu’on va faire, à quoi bon le faire ? |
Sois vivant dans tout ce que tu fais. |
Tout acte de création est d’abord un acte de destruction. |
Tout ce qui peut être imaginé est réel. |
Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. |
Un tableau était une somme d’additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions. |
Un tableau ne vit que par celui qui le regarde. |
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