GALETTE CHARENTAISE À L’ANGÉLIQUE : la recette facile

La galette charentaise à l’angélique est un gâteau à base de farine, oeufs, beurre, sucre, levure, sel et de l’angélique confite.

L’angélique est une plante cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie.

Spécialité de la Saintonge (ancienne province à cheval aujourd’hui sur les Charentes, la Vendée et les Deux-Sèvres), il s’agit d’un gâteau de fête, réservé auparavant aux grandes occasions. 

En 1848, la famille Barraud commence à produire des galettes charentaises à Beurlay en Charente-Maritime. Depuis, la galette charentaise est devenu un produit largement distribué aux différentes déclinaisons.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 10 min
Temps de repos : –
Temps de cuisson : 15 min
Temps total : 25 min
Ingrédients : 6 personnes
300 g de farine
200 g de sucre semoule
120 g de beurre  doux
75 g d’angélique confite
2 oeufs
2 sachets de sucre vanillé
1 sachet de levure chimique
15 ml de lait
1 pincée de fleur de sel

Préparation :

  • Préchauffer le four ventilé à 220° C.
  • Battre longuement les oeufs avec les sucres jusqu’à obtenir un mélange crémeux de couleur pale.
  • Ajouter petit à petit la farine et la levure tamisées au préalable, puis le beurre légèrement ramolli.
  • Bien mélanger le tout à la main jusqu’à ce que la pâte se forme.
  • Ajouter l’angélique coupée en petits dés, puis travailler la pâte jusqu’à ce qu’elle soit bien homogène.
  • Couper la pâte en deux et étaler dans deux moules à tourtière de 20 cm de diamètre chemisés et beurrés légèrement (ou faire deux cuissons à la suite dans le même moule). 
  • Badigeonner de lait pour la faire dorer.
  • Dessiner des croisillons à la fourchette.
  • Enfourner 10 à 15 min jusqu’à ce que la galette ait pris une belle couleur dorée.
  • Démouler dès la sortie du four pour éviter que la galette ne colle.
  • Servir en parts froide ou tiède.

Citation sur la cuisine :

« La cuisine ne se mesure pas en termes de tradition ou de modernité. On doit y lire la tendresse du cuisinier. »

Pierre Gagnaire

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