Le gâteau Mont-Blanc antillais est une génoise fourrée à la crème au coco et recouverte de noix de coco râpée.
Il est populaire en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane et en France métropolitaine.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 45 min |
Temps de repos : – |
Temps de cuisson : 35 min |
Temps total : 1h 20 min |
6 personnes |
Biscuit : |
5 œufs |
185 g de sucre |
110 g de farine |
40 g d’amidon de maïs |
extrait de vanille |
cannelle en poudre |
rhum |
Crème : |
3 petits jaunes d’œufs |
35 g de farine |
110 g de sucre |
300 ml de lait de coco |
rhum |
extrait de vanille |
Décoration : |
cerises confites |
75 g de noix de coco râpée |
Biscuit :
- Dans un bol, battre les jaunes d’œufs avec le sucre jusqu’à l’obtention d’un mélange blanchâtre.
- Ajouter la farine, la cannelle, une cuillère à soupe de rhum et l’amidon de maïs.
- Mélanger, puis y ajouter les blancs d’œufs battus en neige au préalable.
- Bien mélanger, puis verser dans un moule de 20 cm de diamètre muni de papier sulfurisé, légèrement beurré et fariné.
- Préchauffer le four à 200° C.
- Enfourner durant 35 min.
- Sortir.
- Laisser refroidir moule, puis démouler.
Crème :
- Dans une casserole, ajouter le lait de coco, la gousse de vanille fendue en deux et les grains extraits.
- Faire chauffer à feu doux jusqu’à à ébullition.
- Dans une grande casserole, battre les jaunes d’œufs avec le sucre. Incorporer petit à petit la farine au fouet.
- Verser en filet le lait bouillant sur le mélange en remuant sans arrêt.
- Remettre sur le feu tout en remuant pour éviter les grumeaux jusqu’à ce que la crème se détache des bords de la casserole.
- Éteindre le feu et laisser refroidir.
Assemblage :
- Couper le gâteau en deux.
- Badigeonner de rhum et garnir avec les 3/4 de crème.
- Refermer le gâteau puis garnir le dessus avec le restant de crème.
- Saupoudrer de noix de coco râpée.
- Décorer avec des cerises confites sur le dessus.
- Mettre au réfrigérateur au moins 30 min.
- Servir et déguster !
Citation sur la cuisine :
« La cuisine, c’est le souvenir. »
Georges Simenon