Le fraisier est une pâtisserie composée de couches de génoise, garnies de crème et de fraises, recouverte parfois d’une mince couche de pâte d’amande ou d’un sirop de fraises.
Facile et rapide à préparer, cet entremets sucré délicieux se déguste en fin de repas et lors des collations de la journée.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 30 min |
Temps de repos : – |
Temps de cuisson : 15 min |
Temps total : 45 min |
6 personnes |
250 g de fraises |
100 g de sucre en poudre |
100 g de farine |
190 g de mascarpone |
350 ml de crème fleurette entière |
4 Ĺ“ufs de grosse taille |
100 g de sucre glace |
Préparation :
- Dans un bol, fouetter les jaunes d’œufs avec le sucre durant 5 min jusqu’à l’obtention d’un mélange clair et mousseux.
- Ajouter la farine en pluie tout en fouettant.
- Dans un autre bol, monter les blancs en neige ferme et incorporer délicatement à la spatule au mélange précédent en effectuant des mouvements lents de bas en haut.
- Préchauffer le four en mode statique à 180°C.
- Verser la pâte à génoise sur une plaque de cuisson munie de papier sulfurisé et enfourner durant 12 à 15 min. Sortir et mettre de côté.
- Découper 2 rectangles de génoise aux dimensions du cadre à pâtisserie.
- Poser le premier rectangle de génoise dans le cadre.
- Dans un bol, monter la crème en chantilly en ajoutant petit à petit le sucre glace.
- Incorporer délicatement le mascarpone légèrement détendu au préalable.
- Laver, rincer et Ă©queuter les fraises.
- Couper une partie des fraises en tranches et garnir le pourtour du cadre. Couper le restant de fraises en deux.
- Remplir un sac à douille de crème au mascarpone à la chantilly et en garnir le rectangle de génoise.
- Enfoncer les morceaux de fraises dans la crème.
- Terminer en posant le second rectangle de génoise.
- Presser légèrement et mettre au réfrigérateur 3 h minimum.
- Saupoudrer avec le restant de sucre glace avant de servir.
- DĂ©guster !
Citation sur la cuisine :
« C’est une histoire d’amour la cuisine, il faut tomber amoureux des produits et puis des gens qui les font. »
Alain Ducasse