ZÉZETTES DE SÈTE GRAND-MÈRE

Les zézettes de Sète sont des biscuits sablés à base de farine, sucre, huile d’olive, levure chimique, sucre vanillé, sel et vin blanc.

Variante des rollicos (ou roïscos), biscuits d’origine espagnole entrés dans la cuisine des pieds-noirs d’Algérie, elles sont apparues dans les années 1970 à Sète, créées par Gaston Bentata (biscuiterie de La Belle Époque). On trouve aussi des pitchounettes, z’zettes s’inspirant du nom d’origine marque déposée depuis 1995 et de ces biscuits.

Faciles et rapides à faire, inspirées de l’original, elles sont parfaites lors des collations de la journée.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 15 min
Temps de repos : 30 min
Temps de cuisson : 20 min
Temps total : 35 min + 30 min (repos)
Ingrédients : environ 30 biscuits
250 g de farine
90 g de sucre
90 ml d’huile d’olive
90 ml de Muscat (Frontignan ou Rivesaltes)
1 c. à c. de levure chimique
1 gousse de vanille
1 c. à s. de cassonade
1 pincée de sel

Préparation :

  • Dans un bol, verser le muscat et ajouter le sucre.
  • Fouetter pour le dissoudre. Verser l’huile d’olive et mélanger.
  • Dans un autre bol, mélanger la farine, la levure, les grains de vanille et le sel.
  • Ajouter progressivement au mélange de muscat sucré et d’huile d’olive.
  • Mélanger puis pétrir avec les mains jusqu’à former une boule.
  • Envelopper de film plastique puis mettre au réfrigérateur durant 30 min.
  • Préchauffer le four en mode statique à 160°C.
  • Couper la pâte en 2 ou 3 pâtons.
  • Rouler sur un plan de travail fariné jusqu’à former des boudins et couper en tronçons.
  • Pincer les extrémités en les étirant un peu jusqu’à obtenir une pointe.
  • Verser le sucre cassonade dans une assiette et y rouler les petits boudins.
  • Inciser éventuellement sur toute la longueur puis placer sur une plaque munie de papier sulfurisé.
  • Enfourner durant environ 20 min.
  • Sortir du four et laisser refroidir sur une grille.
  • Servir et déguster !

Citation sur la cuisine :

« La cuisine est la base du véritable bonheur. »

Auguste Escoffier