Le succès n’est pas final. L’échec n’est pas fatal. C’est le courage de continuer qui compte. |
Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. |
Le vrai génie réside dans l’aptitude à évaluer l’incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles. |
Les économies, c’est très bien, surtout si vos parents les ont faites pour vous. |
Les empires du futur seront spirituels. |
Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge. |
On considère le chef d’entreprise comme un homme à abattre, ou une vache à traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char. |
On gagne sa vie avec ce que l’on reçoit, mais on la bâtit avec ce que l’on donne. |
On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié. |
Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur. |
Pour s’améliorer, il faut changer. Donc, pour être parfait, il faut avoir changé souvent. |
Il est toujours sage de regarder en avant, mais il est difficile de regarder plus loin qu’on ne peut voir. |
Quand on obtient d’une chose ce qu’on en attendait, on n’en demande pas plus. |
Quand survient un malheur, il est tout à fait possible qu’il vous évite un malheur plus terrible encore. Et, quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous être plus utile que la décision la mieux pesée. |
Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat. |
S’occuper des choses les plus sérieuses du monde n’est possible qu’à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires. |
Si deux hommes ont toujours la même opinion, l’un d’eux est de trop. |
Tout le monde savait que c’était impossible à faire; Puis un jour est venu un homme qui ne le savait pas. Et il l’a fait. |
Toute l’histoire du monde se résume dans le fait que, lorsque les nations sont fortes, elles ne sont pas toujours justes, et quand elles veulent être justes, elles ne sont plus fortes. |
Un fanatique est quelqu’un qui ne veut pas changer d’avis et qui ne veut pas changer de sujet. |
Un conciliateur c’est quelqu’un qui nourrit un crocodile en espérant qu’il sera le dernier à être mangé. |
Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté. |
Une pomme par jour éloigne le médecin, pourvu que l’on vise bien. |
Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre. |
Winston Churchill assistait à l’inauguration de sa propre statue, lorsqu’un ami le questionna. – C’est une chose rare qui vous arrive. Quelle impression éprouve t-on ? – Je ne peux vous dire qu’une chose, c’est qu’on regarde les pigeons d’un tout autre oeil. |
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