Les cookies de Noël sont des biscuits à base de farine, beurre, sucre de canne, écorces d’oranges confites, cannelle, oeuf, levure et sel.
De façon générale, un cookie en Europe ou biscuit au Canada est un petit biscuit sec et rond aux pépites de chocolat originaire des États-Unis
Le mot anglais « cookie » vient du néerlandais « koekje » (petit biscuit), introduit aux États-Unis par les colons hollandais de la Nouvelle-Amsterdam. Ce terme est utilisé en Amérique du Nord pour désigner différents biscuits secs. En France, il désigne un biscuit rond aux pépites de chocolat ou chocolate chip cookie en anglais.
En 1930, Ruth Graves Wakefield, expérimenta dans son auberge de Boston, la Toll House Inn, une recette de gâteau en mélangeant des morceaux de chocolat Nestlé à sa pâte qui ne fondirent pas et firent leur succès. Cette recette de cookies très énergétiques et supportant bien le transport se diffusa à partir de la Seconde Guerre Mondiale.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 20 min |
Temps de repos : – |
Temps de cuisson : 10 min |
Temps total : 30 min |
Ingrédients : 6 personnes |
230 g de farine T 55 |
125 g de beurre mou |
125 g de sucre de canne |
75 g d’écorces d’oranges confites |
1 œuf |
1 cuillère à soupe de poudre de cannelle |
1/2 sachet de levure chimique |
1 pincée de sel |
Préparation :
- Préchauffer le four à 180 °C.
- Couper les oranges confites en petits morceaux.
- Dans un bol, ajouter le beurre coupé en morceaux et le sucre de canne et malaxer le tout.
- Dans un autre bol, mélanger la farine, la cannelle, la levure et le sel.
- Ajouter au bol contenant l’œuf et les oranges confites et malaxer jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène.
- Former un ou deux rouleaux de pâte de 6 à 7 cm de diamètre et couper en rondelles.
- Abaisser légèrement les ronds de pâte.
- Poser à intervalles réguliers sur une plaque à pâtisserie munie de papier sulfurisé.
- Enfourner durant 10 min.
- Sortir et laisser refroidir sur une grille.
- Servir et déguster !
Citation sur la cuisine :
« La cuisine, c’est le souvenir. »
Georges Simenon