Le savarin au rhum est un gâteau à base de farine, beurre, œufs, levure, sucre et sel imbibé de sirop au rhum, garni de crème chantilly.
Proche d’un baba au rhum, sans raisins secs et cuit dans un moule à savarin, ce gâteau moelleux et délicieusement parfumé est parfait en fin de repas ou lors des collations de la journée.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 25 min |
Temps de repos : 2 h |
Temps de cuisson : 15 min |
Temps total : 40 min + 2 h (repos) |
Ingrédients : 6 personnes |
Gâteau : |
200 g de farine |
120 g de beurre |
3 Ĺ“ufs |
20 g de levure fraîche de boulanger |
1 c. Ă c. de sucre |
1 pincée de sel |
Sirop : |
300 ml d’eau |
200 g de sucre |
1 verre de rhum |
Crème chantilly : |
250 ml de crème liquide entière |
1 sachet de sucre vanillé |
sucre en poudre |
DĂ©coration : |
cerises et angélique confites |
confiture d’abricots |
Préparation :
- Dans un bol, délayer la levure avec 1 c. à s. d’eau tiède.
- Ajouter la farine et les œufs et bien mélanger.
- Recouvrir le bol d’un linge propre et laisser reposer la pâte durant environ 1 h 30 min dans un endroit tiède.
- Une fois la pâte levée, ajouter le beurre fondu refroidi, le sel et le sucre. Bien mélanger et verser la préparation dans un moule à savarin beurré.
- Faire lever la pâte durant encore 15 à 30 min jusqu’à ce que la pâte arrive au bord du moule.
- Préchauffer le four en mode statique à 200°C.
- Enfourner durant environ 15 min.
- Dans une casserole, faire bouillir l’eau avec le sucre durant 2 à 3 min et ajouter le verre de rhum.
- Sortir le gâteau du four, démouler et arroser avec le sirop. Laisser refroidir.
- Badigeonner le gâteau un peu de confiture d’abricots tiède.
- Décorer avec les cerises et l’angélique confite.
- Dans un bol très froid, fouetter la crème liquide jusqu’à la bonne consistance. Une fois la chantilly prise, ajouter le sucre vanillé ainsi qu’un peu de sucre et mettre au frais dans une poche à douille.
- Au moment de servir, ajouter la crème chantilly.
- DĂ©guster !
Citation sur la cuisine :
« La cuisine, c’est le souvenir. »
Georges Simenon