- Les taux d’intérêt restent durablement bas, comme au Japon: les rendements des fonds en euros ne permettraient plus aux épargnants de conserver leur pouvoir d’achat en cas de reprise de l’inflation;
- La défaillance d’une grosse signature obligataire, comme lors de la crise grecque ou de la faillite de la banque Lehman Brothers: la valeur des fonds en euros détenant ce type de dette s’en trouverait immédiatement impactée;
- Une remontée brutale des taux d’intérêt pourrait entraîner des rachats massifs, du fait du faible rendement des fonds en euros et de l’attractivité de placements concurrents. La valeur des obligations en portefeuille baissant fortement (la valeur d’une obligation évoluant à l’inverse de son taux d’intérêt), les compagnies d’assurance pourraient avoir des difficultés à assurer les rachats tout en maintenant la garantie en capital et en intérêts.
PETITES VALEURS : plus performantes que les grandes sur longue période?
Lorsqu’on constitue un portefeuille d’actions investi sur longue durée, on a tendance à choisir des valeurs de grandes sociétés, dites de « père de famille », et à ne pas retenir de petites valeurs de sociétés de taille moyenne, dites « plus risquées ». L’examen sur longue période de l’évolution comparée des indices de grandes et de petites valeurs montre, même … Lire la suite
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