Le hachis Parmentier ou hachis parmentier est un plat à base de purée de pommes de terre et de viande hachée.
Ce mets a été nommé en l’honneur d’Antoine-Augustin Parmentier qui fit goûter la pomme de terre à Louis XVI et la popularisa en France, permettant au pays de sortir du cycle mortifère famine/disette. Le hachis Parmentier à base de purée de pomme de terre et de viande de bœuf hachée serait né à Paris.
La variante ci-dessous est celle d’un parmentier de viande de thon.
| Niveau de difficulté : facile |
| Temps de préparation : 25 min |
| Temps de repos : – |
| Temps de cuisson : 50 min |
| Temps total : 1 h 15 min |
| Ingrédients : 6 personnes |
| 500 g de pommes de terre |
| 2 oeufs |
| 200 g de thon à l’huile |
| 1 oignon |
| 150 ml de lait entier |
| 50 g de beurre demi-sel |
| 25 g de fromage râpé |
| 100 ml crème liquide |
| persil |
| sel |
| poivre |
- Purée de pommes de terre :
- Laver les pommes de terre et faire cuire dans une casserole d’eau bouillante salée durant 25 à 30 min.
- Éplucher les pommes de terre puis les passer au presse-purée.
- Faire chauffer le lait dans une petite casserole.
- Mettre la purée dans un bol. Verser le lait petit à petit tout en mélangeant puis incorporer le beurre en morceaux.
- Assaisonner et finir de mélanger.
- Préparation au thon :
- Faire cuire deux œufs dans une casserole d’eau bouillante durant 10 min, mettre sous l’eau froide et écaler.
- Peler et hacher l’oignon.
- Laver, sécher et couper le persil.
- Égoutter et émietter le thon.
- Hacher les œufs et mélanger avec le thon, les oignons, le persil et du poivre.
- Assemblage et cuisson :
- Préchauffer le four (statique) à 180°C.
- Verser la moitié de la purée dans un récipient en verre allant au four, puis ajouter la préparation au thon.
- Recouvrir avec le restant de purée.
- Ajouter du fromage râpé et un peu de crème fraîche liquide.
- Enfournez pour 20 à 25 min, le temps que le dessus prenne une belle couleur dorée.
- Servir immédiatement
- DĂ©guster !
Citation sur la cuisine :
« Il n’y a pas d’amour plus sincère que l’amour de la nourriture. »
George Bernard Shaw